Le monde de James Matthew Barrie


> Avant propos
> Biographie
> Galerie de photographies


> Thrums
> Kensington Gardens
> Never (never never) Land
> Sa bibliothèque

> Bibliographie
> Editions pirates
> Iconographie
> Illustrateurs de Barrie
> Pastiches
> Lettres

> Livres en français
> Livres en langue anglaise
> Films
> Téléfilms / émissions
> Comédies musicales
> Produits dérivés
> Curiosités


> Présentation du roman
> Extraits
> Vingt-six chapitres


> La genèse du personnage
> La pièce
> Le film
> Le mythe

> Citations de Barrie
> Citations sur Barrie
> Tommy Sandys
 

The lost boys : le bonheur

Précédent | Accueil | Suivant



"Les Jardins sont limités d’un côté par une rangée sans fin d’omnibus, sur lesquels Irène fait preuve d’une telle autorité que, si elle levait le petit doigt à l’intention de n’importe lequel d’entre eux, il s’arrêterait immédiatement. Alors, elle traverse avec vous de l’autre côté en toute sécurité. Il y a plus d’une porte pour pénétrer dans les Jardins, mais c’est par celle-ci que vous y entrez. Avant de vous y introduire, vous parlez à la dame aux ballons qui s’assoit juste à l’extérieur. Elle se tient aussi près de l’intérieur qu’elle peut oser le faire, parce que si elle lâchait un instant son emprise sur les grilles, les ballons l’emporteraient, et elle serait balayée par le vent dans les airs. Elle s’accroupit, car les ballons sont toujours en train de tirer, et l’effort qu’elle produit pour les retenir fait rougir son visage. Un jour, une nouvelle dame se tenait là, parce que l’ancienne s’était envolée. David était absolument désolé pour l’ancienne mais, puisqu’elle s’était envolée, il aurait aimé être là pour le voir. "

The little white bird